Et je ne parle pas d’être un gourou du Web qui vend des fausses promesses pour se faire un max de fric à travers des publicités YouTube.

Un bon coach doit vendre le rêve de son client, à son client.

Car vos clients ne vous paient pas pour votre coaching.

Ils vous paient pour réaliser leurs rêves.

Concrètement, cela veut dire que vous devez croire en votre client plus qu’il ne croit en lui-même. Il doit sentir dans votre regard et dans vos paroles qu’il a le potentiel d’atteindre les objectifs qu’il ne se « croit » pas capable d’atteindre.

Certains de vos clients seront déjà très motivés lors de vos séances.

Votre mission serait de les accompagner dans leur épanouissement sans émettre de doutes ni de jugements : ils ont déjà leurs amis, leurs familles et la société pour cela.

D’autres clients par contre auront besoin de vous pour retrouver de l’estime ou pour se dépasser. Votre rôle n’est pas de discuter avec eux de ce qu’ils sont capables de faire. Votre rôle, c’est de leur vendre la meilleure vision possible qu’ils ont d’eux-mêmes et des résultats qu’ils peuvent atteindre.

D’où l’importance de bien définir avec eux cette vision qui les inspire.

Pour ma part, je reste le plus neutre possible lors de cette étape.

Je les challenge juste un peu, pour trouver le but du but, sans pression.

Après quoi, c’est open bar, tous les coups sont permis.

Parfois c’est compliqué pour eux mais ils finissent par me remercier de les avoir poussés dans leurs retranchements.

Tout est une question d’intention, pas de bienveillance.

Dans un prochain post, je vous expliquerais comment coacher sans peur.