Il y a des fatigues qu’on ne soigne pas avec une sieste.

Des fatigues discrètes. Sourdes.

Celles qui s’installent sans crier gare.

Et qu’on finit par trouver normales.

Tu continues à faire.
À sourire.
À gérer.
À dire que ça va.

Mais ton corps, lui…
il fait la gueule.

Il te parle.
Par des insomnies.
Des repas avalés sans faim.
Des silences lourds devant le miroir.

Et toi, tu tiens.

Parce que t’as pas “le temps” de t’arrêter.

Mais si tu continues à faire comme si,

c’est ton corps qui, un jour, prendra le temps pour toi.

Et tu le sais.

💛 Cette semaine, j’ai vu ça chez elles.

Chez Ambre et Cécile. Et Estelle aussi.
(Bisou les filles)

Chez toutes celles qui n’étaient pas “juste fatiguées”.
Mais déconnectées d’elles-mêmes.

Et puis un jour… elles se sont posées.

Un jus frais à la main.
Un regard plus doux.
Un souffle plus ample.

Elles n’ont pas changé de vie.
Mais elles ont changé de lien à elles.

Et c’est ça qui change tout.

☘️ L’exercice vivant du week-end

Je te propose un rituel tout simple.

Pas un test, pas une to-do.
Un retour. Un vrai. Toi avec toi.

Le scan doux (10 minutes)

1. Trouve un endroit calme. Coupe tout.

2. Ferme les yeux. Respire lentement pendant 1 minute.

3. Puis réponds dans ton carnet à ces 3 phrases :

   → “En ce moment, mon corps me dit…”

   → “Ce que je retiens, c’est…”

   → “Ce que je me donnerais, si j’osais, c’est…”

Laisse infuser. Même si c’est flou. Même si c’est fragile.

Ce petit moment-là, c’est le début d’un autre rythme.

Un élan doux. Vivant. Le tien.

Et si tu veux qu’on l’ouvre ensemble :
📞 https://zcal.co/adaneraw/decouverte

— Dada